lundi 17 novembre 2008

publier ou ne pas publier, telle est la question?

C’est la première fois que je me pose la question à propos d’un commentaire. Publier, c’est rendre public et j’ai vraiment hésité pour celui-là parce que, à mon sens, il est un peu limite (on se moque pas des noms, il y en a des pire) même si c’est fait sur le ton de l’humour. Et ce refus d’assumer ses écrits…

Cette problématique interne à mon cerveau me fait penser à ce qui se passe actuellement concernant la « veille d’opinion » que veut mener l’éducation nationale. Non pas que je me considère comme « leader d’opinion » ou quoi que ce soit mais, après le veilleur de Sarkozy supposé surveiller ce qui se dit sur notre président sur la toile, voilà que Darcos veut imiter son chef. Alors, il y a de l’argent pour nous surveiller (220 000 euros, quand même) mais pas pour augmenter le nombre de postes puisque « en 2007, 250 postes ont été ouverts au Certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement du second degré (CAPES) de documentaliste pour 583 départs enregistrés par la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance, et en 2008, pour 549 départs anticipés, ce sont 192 postes qui ont été ouverts au CAPES » (Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? Rapport d'information n° 46 (2008-2009) du 22 octobre 2008 - par M. David ASSOULINE, fait au nom de la commission des Affaires culturelles).

Mais, est-ce que le sénateur Assouline ne critique pas la politique gouvernementale concernant l’éducation ? Il devrait faire attention !

En attendant, je considère que l’initiative d’aller tous se dénoncer peut être une solution pour faire économiser un peu d’argent à notre ministère (n’est-ce pas Olivier Ertzscheid? et on ne se moque pas de son nom non plus !).

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Alors là j'avoue que je pensais bien que ça allait te poser question de publier ou non ce fameux commentaire! En même temps il n'y avait pas de moqueries réelle enfin pas méchantes, tout au plus de la taquinerie. Donc pardonnez moi M. Zakartchouk si vous passez par là et que cela vous a blessé.